Messages : 2086 Date d'inscription : 03/08/2010 Age : 76 Localisation : Maisons Laffitte
Sujet: Chapelet de la miséricorde Divine Lun 3 Juil - 17:17
Avec l'aimable autorisation de "la voix de Dieu".
Au début : Notre Père, Je vous salue, Je crois en Dieu
- Sur les gros grains du Notre Père (1 fois): Père Eternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Ame et la Divinité de Ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus Christ. En réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.
- Sur les petits grains du Je vous salue Marie (10 fois): Par Sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et pour le monde entier.
- A la fin (3 fois): Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel, prends pitié de nous et du monde entier » (PJ 476).
Promesses du Seigneur Jésus pour ceux qui prient ce chapelet (tirées du Petit Journal de Sœur Faustine Kowalska)
« Oh! Quelles grandes grâces J’accorderai aux âmes qui diront ce chapelet (...) Inscris ces mots, ma fille, parle au monde de ma miséricorde, que l’humanité entière apprenne à connaître Mon insondable miséricorde. C’est un signe pour les derniers temps, après viendra le jour de la justice. Tant qu’il en est temps, que les hommes aient recours à la source de la miséricorde, qu’ils profitent du sang et de l’eau qui ont jailli pour eux » (PJ 848).
« Récite constamment le chapelet que Je t’ai enseigné. Quiconque le dira, accédera à une grande miséricorde à l’heure de sa mort. Les prêtres le recommanderont aux pécheurs comme ultime planche de salut; même le pécheur le plus endurci, s’il récite ce chapelet une seule fois, obtiendra la grâce de Mon infinie miséricorde » (PJ 687). Si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, Je me tiendrai entre le Père et l’âme agonisante, non pas en tant que Juge juste, mais comme Sauveur miséricordieux » (PJ 1541).
« A l’heure de la mort Je défends comme ma propre gloire chaque âme qui récite ce chapelet elle-même, ou bien si d’autres le récitent près de l’agonisant – l’indulgence est la même. Quand on récite ce chapelet auprès de l’agonisant, la colère divine s’apaise, une miséricorde insondable s’empare de son âme » (PJ 811).