Françoise consacré
Messages : 9410 Date d'inscription : 12/06/2016
| Sujet: Prières de Pierre Panis. Mer 28 Mar - 15:58 | |
| Prières de Pierre Panis pour les Malades
Voici le témoignage de Pierre Panis qui avait créé le Réseau Vigie Prière avec des envois qu'il diffusait à un listing de mails de 12.000 correspondants ... un exemple de Monastère invisible :L’euthanasie, dignité humaine ou lâcheté inconséquente ? Né en 1952, marié en 1977, viticulteur-arboriculteur de profession, hyper dynamique de nature, je vivais heureux et croquais la vie à pleines dents. Un jour, vers la fin de l'année 1985, j'avais 33 ans, j'ai commencé à être gêné pour utiliser un tournevis. Six mois après j'étais en fauteuil roulant et, trois ans après, ne pouvant plus tenir ma tête, j'optais pour le lit... que je n'ai plus quitté depuis ce jour. Aujourd'hui, je suis entièrement paralysé, trachéotomisé, branché à un appareil respiratoire et ne peux désormais remuer que les yeux. Cette maladie, appelée "Sclérose Latérale Amyotrophique" (S.L.A.) ou "maladie de Charcot" entraîne une dégénérescence inexorable de tous les muscles et conduit rapidement le malade à une dépendance totale. Par bonheur, je possède un ordinateur équipé d'un logiciel spécial qui me permet d'écrire avec les yeux. C'est grâce à cet équipement que je peux vous écrire aujourd'hui. Le premier moment d'abattement passé, je me suis tourné vers le Ciel et j'ai demandé : pourquoi moi ? ? ? Mon sort me paraissait injuste ; il y a tant de chômeurs professionnels... Tant d'individus sans foi ni loi... POURQUOI MOI ? Je voulais comprendre... et j'ai compris ! J'ai compris qu'il m'avait fallu cette maladie pour me rendre compte que, comme beaucoup de monde, je me mettais la conscience tranquille en allant à la messe le dimanche mais qu'en fait, j'étais très loin de suivre la route du Seigneur. Aujourd'hui, je suis entièrement paralysé, je ne peux remuer que les yeux mais je suis heureux : - heureux de marcher à nouveau sur la route du Seigneur, - heureux de vivre enfin en conformité avec mon idéal, - heureux d'être modestement utile à mon Dieu. Issu d'une vieille famille terrienne, catholique et pratiquante, ayant toujours eu la Foi, à l’annonce de ma maladie, je me suis jeté en elle avec le désespoir et la frénésie d'un naufragé sur une bouée de sauvetage... Malgré l'extrême douleur des premières années : le désarroi dure tant que dure la descente aux enfers, j'ai maintenu ma confiance en Dieu... La descente dure tant qu'il reste des muscles à immobiliser, à paralyser. A partir de là, quand on a touché le fond, quand la maladie ne trouve plus de quoi alimenter son appétit destructeur, on entre dans ce que nos éminents spécialistes appellent la phase terminale. Il y a 17 ans que je suis en phase terminale, je m'y suis habitué et, au risque de vous surprendre, ma joie de vivre balayant ou occultant tous les inconvénients et contraintes liés à mon état, je suis heureux ! J'ai les idées bien en place et aucune envie de me plaindre ! Oserai-je dire : au contraire !... Car cette maladie est, pour moi, une sanctification forcée... à la limite de l'injustice... Gloire à Dieu ! Réaction au malheur incompréhensible pour la plupart, mais Dieu remplit ma vie et je ne manque de rien. Le bonheur serait il subjectif et totalement indépendant de toute jouissance humaine ? Je laisse à chacun le soin de méditer cette pensée qui est une approche directe de l'influence permanente de Dieu dans nos vies, par une action à la fois permanente et imperceptible sur notre coeur, notre ressenti et nos évidences fondamentales... Oui, la souffrance existe, aussi bien physique que morale mais il est écrit dans la Bible : Matthieu 11, 28-30 "Venez à Moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et Moi Je vous soulagerai. Chargez-vous de Mon joug et mettez-vous à Mon école, car Je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez soulagement pour vos âmes. Oui, Mon joug est aisé et Mon fardeau léger. "Je suis là pour en témoigner !... J'ai, bien souvent, remonté le moral de gardes-malades désespérées pour des peines légères et passagères mais j'ai moi-même rarement perdu le moral et je n'ai jamais perdu l'espoir parce que je n'ai jamais douté de l’Amour de Dieu. Comment penser à l'euthanasie quand on a Dieu dans le coeur et quand aucune souffrance ne peut altérer notre confiance en Lui... Les « sans Dieu » sont à plaindre car ils ne connaissent pas l'incommensurable bonheur de se sentir aimé de Dieu, ils ne peuvent pas imaginer le secours bien réel dont bénéficient les amis de Dieu dans l'épreuve. Quand l'enfer se déchaîne contre nous, nous savons qu'il ne s'agit que d'une épreuve supplémentaire, destinée à tester notre Foi et notre confiance envers le Tout-Puissant, Créateur de tout ce qui est... Il faut savoir que nous avons été créés par un débordement de l’Amour Infini de Dieu et que toutes nos souffrances sont nécessaires à notre purification, pour la préparation de notre Eternité bienheureuse dans la Gloire de Dieu. Oui, quand l'enfer se déchaîne contre nous, nous accentuons notre prière, nous implorons le Ciel et nous gardons confiance... alors que les « sans Dieu », dans la même situation, désespèrent, appelent la mort et revendiquent le droit à mourir. Ils appellent ça « mourir dans la dignité » ! Ne s'agit il pas plutôt de désespoir et de lâcheté ? Ce qui est grave, parce qu'irréversible, c'est qu'ils refusent la Volonté Divine qui est Lumière et se précipitent dans la mort qui est ténèbres.Dieu respectera leur choix, leur libre arbitre, et les laissera aller dans les ténèbres éternelles puisque telle est leur volonté, libre et délibérée. Alors que celui qui accepte et offre sa souffrance se met en phase avec la Volonté Divine parce qu'il fait preuve d’humilité, d’obéissance, de soumission, de confiance et d’amour envers notre Créateur et Rédempteur.La souffrance acceptée et offerte purifie notre âme, constitue une protection contre l'enfer et fait office de sauf conduit pour le purgatoire dont elle peut réduire sensiblement la durée. L'euthanasie est donc criminelle à double titre : pour le temps et pour l'Eternité. Par son refus radical de la Volonté Divine elle est un billet pour l'enfer. Il en est de même pour l'avortement. La culpabilité de l'avorteuse est même bien pire car, pour un confort égoïste, elle ôte la vie à son propre enfant qui possède déjà une âme immortelle et vivra donc éternellement dans le Ciel en qualité de martyr de sa propre mère. Mais il est IMPORTANT de savoir que Dieu pardonne au pire des criminels qui implore son pardon avec un repentir sincère.Chacun peut donc décider de revenir à Dieu à tout moment mais, en nos temps troublés, il serait quand-même prudent de ne pas attendre. En conclusion, qu'importe notre vie actuelle, offrons la joyeusement à la Divine Justice, soyons des amis fidèles de notre Dieu d'Amour et de Miséricorde, des esclaves de l'Amour, car nous savons que nous passerons l'Eternité dans Sa Gloire et que la Vision Béatifique chavirera perpétuellement notre coeur dans le ravissement et dans l'extase. Pierre PANIS. autorisation pour diffusion maximum//////////////////////////////////////////////////CONFIANCECe corps martyrisé, décharné et blessé, Ne me fait pas l'effet que l'on pourrait penser.Loin de m'apitoyer sur mon sort malheureux, Je remercie mon Dieu d'avoir ouvert mes yeux. A quoi sert de pleurer et de se lamenter, D'avoir perdu la voix et la motricité, Je n'aurai plus besoin d'enveloppe charnelle, Si je dois vous quitter et me détacher d'elle. Mais si par un effet de l'Amour Infini, Le miracle arrivait, les souffrances finies, Je me retrouverais, du jour au lendemain, Avec mon corps guéri, ma parole et mes mains. En un mot comme en cent, il faut que je vous dise,Quelle que soit l'issue qui me sera permise, Ne vous attristez pas pour mon état du jour, Car demain, je le sais, sera... Un autre jour !Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LE CORPS, VEHICULE de L'AME. Enfermés dans un corps depuis leur conception, Les hommes, depuis lors, sont en contradiction, Ils ont même oublié qu'ils possédaient une âme, Ils ne croient qu'en ce corps, et c'est là tout le drame ! Véhicule de chair, exigeant, jouissif, Il ne tolère pas que l'on reste passif. Il en veut toujours plus, se repaît de désir, Et ne se trouve bien qu'abreuvé de plaisir. Il refuse la Croix, et la Sainte souffrance, Bien offerte, avec joie, esprit de pénitence. Il ne pense qu'à lui, malgré les écritures, Occultant l'avenir, destin de pourriture ! Et pendant ce temps là, sa belle âme se meurt, Elle avait tant compté sur l'Amour de ce coeur, Qui devait l'apurer, en combattant ce corps, Dont l'unique volonté a des relents de mort. Il arrive parfois que le coeur administre, Ne croyez surtout pas que cela soit sinistre, Si le corps, de son âme, redevient serviteur, Pour ça il fut créé, non comme directeur. Dans ce cas seulement, s'épanouit le moi, A l'image de Dieu, loin de tous les émois. C'est le grand changement, la purification, La remise en question, la sanctification. Si le corps obéit à l'esprit de lumière, Usant d'abnégation, dominant la matière, Il se purifiera et deviendra un jour, Glorieux comme Dieu, et vivant pour toujours ! Véhicule de chair, à ton âme, sois soumis, Au centuple, un beau jour, ton Dieu te le rendra, Du bonheur éternel, c'est sûr, tu jouiras, De toute éternité, il t'a été promis. Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LES DROITS de L'HOMME !Les Français se disaient qu'ils seraient plus heureux, Si ils abolissaient la monarchie bénie. A Louis notre roi, on lui ôta la vie,Et la démocratie remplaça le Bon Dieu Gouvernement des hommes où Dieu n'a pas sa place, Direction de bon droit, au mépris du bon sens ! Apologie de l'homme, destruction de sa race,Orgueil démesuré, compromis en tous sens.On parla de nos droits, il faut bien en parler, Car c'est au nom de ça qu'on a tué le roi !..On avait oublié que Dieu seul à des droits !L'homme, à des devoirs, je veux le rappeler.Et depuis ce temps là, la religion décroît,Au pays de Clovis, les idoles apparaissent,Des plaisirs de la vie, les "sans Dieu" se repaissent, Autrefois, la vertu était aimée, je crois.Mais il arrive un temps où la coupe déborde,Catastrophes en tous genres s'abattront sur la horde,En attendant l'enfer, ils veulent profiter...Et pourtant, nous aurons tout fait pour expliquer !..Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LE STRESS :Quand on voit tous ces gens qui ont si triste mine, L'Espérance inconnue, c'est la peur qui domine. se croyant délaissés, abandonnés de Dieu, Ils ne croient qu'en eux-mêmes, jusqu'à devenir vieux. Ils ont même un complexe de persécution, Se croyant agressés, ils deviennent légion, C'est la vie trépidante, le stress du lendemain, Le démon les existe, les obsède de gain. S'ils connaissaient l'Amour de notre Créateur, Ils n'en reviendraient pas et oublieraient la peur, Qui depuis si longtemps, les enchaîne à leur moi. Ils revivraient alors sous le feu de la Croix. Amis de tous pays, la vraie vie c'est la foi, L'avenir est en Dieu, le respect de sa loi. En lui vous trouverez la sagesse et la joie, Du bonheur éternel, un jour, vous serez Rois. Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE :Quand je vois l'être aimé courir un grand danger, Il me faut à tout prix l'aider, le protéger. Et quand pour se défendre, il me crie : liberté ! Je lui dis qu'en Dieu seul, existe : liberté. Car ce mot liberté, tant prisé par les hommes, Est bien source de maux, de péchés, de dégoûts ! Tout comme égalité, les rend fous, les rend comme : Chiens perdus sans collier, égoïstes et jaloux ! Si la fraternité était autant aimée, Elle serait de la terre, une lampe allumée. Et du ciel en liesse, tout heureux devenu, Il y a bien longtemps que Dieu serait venu ! Communistes ou fascistes, sans peur, je le soutiens, Nos révolutionnaires seraient tous des Chrétiens. Et le Christ, et sa mère, parmi nous revenus, Et la terre serait, paradis devenue ! Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LES PROPHETES :Béni soit le Seigneur qui nous envoie sa mère, Embrasée de l'Amour Infini de son Père, Elle souffre, elle pleure, elle prie tout le temps, De retarder encore le Divin châtiment. Mais les hommes aveuglés d'un orgueil insensé, Se croyant bons Chrétiens ou, du moins, bien pensants,Ne croient pas à l'Amour de ce Dieu tant aimantQui les aime et châtie dans la même pensée. Dans ce monde infesté des plaisirs de Satan,Les prophètes, aujourd'hui, sont traités comme avant,On se moque, on les raille, on les traite de fous,D'adorer le vrai Dieu, de prier à genoux. Et le peuple de Dieu, toujours très sûr de lui, Parle d'illuminés, et refuse la voix, Les appels de son Dieu, Prédictions de celui, Qui mourut fou d'Amour, fou d'Amour, sur la Croix. Et depuis deux mille ans, les prophètes s'entêtent,Et pendant tout ce temps, les Chrétiens font la fête Les avertissements les font même bien rire, S'ils se documentaient, ils perdraient leur sourire. Les temps sont accomplis, le démon fait la loi. Le péché est légal, où est passée la foi ? Et la mort des enfants dans le sein de leur mère ? Toutes les messes noires, sans parler d'adultère ! Il nous faut récolter ce que l'on a semé ! Ceux qui ont la vraie foi sont bien trop clairsemés. Le Seigneur des Seigneurs ne peut plus patienter, Les châtiments sont là, nul ne peut en douter ! Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////LA SOUFFRANCE ET LA CROIX Connaissez vous Jésus, Dieu d'Amour et de Paix ? Modèle des Chrétiens et de tous les gens biens. Pour conquérir son coeur, nul besoin de l'épée, Il faut suivre ses voies, son exemple Divin ! Créés pour partager son bonheur infini, Les hommes ont à souffrir pour mériter la Vie. Il faut bien séparer le bon grain de l'ivraie, Pour jouir à jamais de la paix du Dieu Vrai. Les démons de l'enfer, parmi nous répandus, Sont à l'affût des âmes et les veulent perdues. Pour accéder au ciel, il faut prendre la Croix, Du sauveur des Chrétiens, du Dieu Saint, du Christ-Roi. Pierre Panis. //////////////////////////////////////////////////MON INFIRMIERE :Un rayon de soleil parmi nous descendu, Met du baume en nos coeurs, nos esprits et nos vies. Elle chante, elle rit, et nos âmes ravies, La bénissent à jamais de son air détendu ! Pierre Panis. ////////////////////////////////////////////////// | |
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