Prions pour toute l'Eglise et pour nos deux Pontifes à Rome ...
Bonsoir mon ami,
J’espère que tu vas bien.
Pour moi, depuis le jour de son élection, le Pape François est l’antipape de la prophétie de Saint François d’Assise, sur son lit de mort, qui parlait d’un pontife factieux non canoniquement élu …
Pourquoi, parce qu’il n’a pas été élu conformément aux règles définies par Saint Jean-Paul II, qui, selon la procédure habituelle, avait défini les nouvelles règles pour pourvoir à son remplacement et à ceux de ses successeurs …
(On reprend les règles anciennes et traditionnelles, et on y ajoute de nouveaux articles pour adapter le vote du conclave à la modernité et aux progrès techniques l) ...
1°) Pour être élu, un pontife ne doit jamais avoir appartenu à un parti politique ...
2°) Pour être élu, un pontife ne doit jamais avoir été amené là par la volonté d’un groupe d’hommes (une faction qui empêche l’œuvre de l’Esprit-Saint lors des votes du conclave) ...
Il semble que le Pape François soit concerné par le second point avec la mafia de Saint Gall …
(C’est pour cela que le Pape François promeut beaucoup de mauvais qui avaient été rejetés par le pape Benoît XVI) …
Les prophéties annoncent qu’un grand ordre trahira l’Eglise, et pour moi, il ne fait aucun doute qu’il s’agit des Jésuites …
Quand on entend leur actuel Ministre Général, le pape noir Arturo Sosa Abascal qui annonce sur les médias que le démon n'existe pas et qu'il est juste une invention des hommes, on a tout compris ...
Le pape François va continuer à se démasquer tout seul par son égo … Il ne faut pas perdre de temps à le combattre mais uniquement prier et faire prier pour lui ...
Et ce sont les mauvais (les infestés endiablés par le diviseur) qui vont provoquer le schisme …
Te souviens-tu que le Pape François nous avait dit qu’il allait mourir après 3 ou 4 ans de pontificat ; ce faux-prophète est toujours là malgré quelques malaises …
Alors que la Pape Benoît se porte comme un charme sans la moindre hospitalisation depuis 7 ans … Car, il est en protection sous les ailes divines du Très-Haut …
Et c’est encore lui le VRAI PAPE au COEUR DU VATICAN, AU COEUR DE L’EGLISE …
QUE LE SEIGNEUR LUI PRETE VIE, QU’IL LUI DONNE LA PAIX ET LA JOIE ICI-BAS ...
ET QU’IL NE LE LIVRE PAS A LA MERCI DE SES ENNEMIS ! …
Bien évidemment que la demande des quatre cardinaux des Dubias était juste et légitime …
L'Eglise va connaître son plus grand martyre de tous les les temps tel qu’annoncé dans l’Apocalypse …
Vous connaissez l'Apocalypse de St Jean. Il y est écrit :
Apocalypse 6, 9-11 :
« Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu’ils avaient rendu. Ils crièrent d’une voix forte, en disant : Jusqu’à quand, Maître saint et véritable, tarderas-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? Une robe blanche fut donnée à chacun d’eux ; et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu’à ce que soit complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux. »
Et aussi cet autre passage de l'Apocalypse de St Jean, au sujet des martyrs égorgés ou décapités :
Apocalypse 20, 4-6 :
« Et je vis des trônes ; et à ceux qui s’y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n’avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n’avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu’à ce que les mille ans soient accomplis. C’est la première résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans. »
Ce passage évoque aussi "Le Temps de Elus" ou "la résurrection des justes", comme cela s'est déja vu pour le Vendredi Saint, dans l'évangile de Matthieu, avec la résurrection des saints qui se promenaient dans les rues de Jérusalem ...
Donc, le Père Eternel, pour déclenche le "Jour de la Colère", ou ce que l'on appelle "Le Grand Avertissement", ou encore "L'illumination des consciences", etc., Dieu le Père attend que le nombre des martyrs sous l'autel soit atteint ...
Il y a tous les martyrs du passé, de la Grande Révolution, du Communisme, des guerres, etc. ...
Auquel il faut ajouter tous les martyrs des Chrétiens d'Orient persécutés ...
Auquel il faut encore ajouter tous les enfants avortés (9 Millions en France, depuis un peu plus de quarante ans dont nous sommes tous complices par notre silence, et cela sans compter les victimes du stérilet abortif, ou de la pilule du lendemain ... sans compter non plus les 2 Milliards d'avortements dans le monde, depuis 50 ans, selon les chiffres de l'O.M.S. (soit plus de 20% de la population mondiale ... sans compter chaque année en France les 2000 à 4000 euthanasie illégales, selon Jean-Marie Leméné de la Fondation Lejeune ... sans compter les transgressions sans précédent du clonage humain sur les embryons, dans tous les laboratoires de France et du reste du monde ...
Nous sommes aujourd'hui très proches de ces tribulations et cela ne laisse plus aucune place pour les mondanités ...
Courage, Confiance, Espérance ! On les aura ...
Amitié
R.
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Le 17 sept. 2018 à 22:55, jacques c. a écrit :
Cher R.
et en souvenir de Michel
Comment vas tu depuis la renonciation ?
As-tu suivi l'affaire des dubbia des 4 cardinaux ?
Quid de la nouvelle messe ?
Quid de l'Eglise de la papauté et des prohéties ?
à l'occasion de se parler
J.
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Le mar. 19 févr. 2013 à 01:10, R. a écrit :
Bonjour,
Copie d'un courrier à mon Evêque.
Bon Carême
R.
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P., le 18 février 2013
Bonjour Monseigneur,
En ce jour de la fête de sainte Bernadette Soubirous, qui fut choisi car c'est un 18 février que la Vierge Marie lui dit : « Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre », je reviens vers vous au sujet de la renonciation du Saint Père Benoît XVI.
Le lundi 11 février dernier, en la fête de Notre Dame de Lourdes, notre Saint Père Benoît XVI annonçait, dans un discours en latin, devant le consistoire, sa décision de renoncer à poursuivre son Pontificat en annonçant, qu’il se démettait de ses fonctions, à partir du 28 février prochain, à 20h00. Voici sa déclaration en français :
« Frères très chers,
Je vous ai convoqués à ce Consistoire non seulement pour les trois canonisations, mais également pour vous communiquer une décision de grande importance pour la vie de l’Eglise. Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. C’est pourquoi, bien conscient de la gravité de cet acte, en pleine liberté, je déclare renoncer au ministère d’Evêque de Rome, Successeur de saint Pierre, qui m’a été confié par les mains des cardinaux le 19 avril 2005, de telle sorte que, à partir du 28 février 2013 à vingt heures, le Siège de Rome, le Siège de saint Pierre, sera vacant et le conclave pour l’élection du nouveau Souverain Pontife devra être convoqué par ceux à qui il appartient de le faire ».
La renonciation annoncée à Rome, en fin de matinée, a aussitôt fait le tour du monde, suscitant de nombreux commentaires et réactions, et provoquant une certaine stupeur, de l’incrédulité et même du désarroi chez un grand nombre de fidèles.
Cette nouvelle est vraiment tombée comme un « Coup de Tonnerre dans un ciel serein », selon la réaction immédiate de Mgr. Angelo Sodano, le doyen des Cardinaux de Rome.
Le soir même, en « Signe des Temps », un second coup de tonnerre tombait sous la forme d’un extraordinaire éclair de foudre qui frappa le sommet de la basilique Saint Pierre, et qui a pu être filmé, photographié et très largement diffusé sur de nombreux médias et sur Internet. En fait, tel un avertissement du ciel, le dôme de la Basilique Saint Pierre a été foudroyée non pas une fois, comme beaucoup le croient, mais trois fois. La plupart des spécialistes des orages s’entendent pour affirmer que le fait que la foudre tombe plusieurs fois au même endroit lors d’un seul et même orage est « un évènement rarissime ».
Contrairement aux signes de l’Alliance comme l’arc-en-ciel, la colombe et la branche d’olivier, le double coup de foudre sur Saint Pierre n’est pas à priori un signe de paix…
Comme tout ceci se déroulait le jour de la fête de Notre Dame de Lourdes, il est nécessaire de rappeler cet autre « Signe des Temps » qui fut donné à Lourdes en prélude, lors des dernières inondations des 20 et 21 octobre 2012. Ce fut un signe Eucharistique sous la forme d’une grande hostie blanche apparue lors du chapelet du 16 octobre 2012 (anniversaire de l’élection du Pape Jean-Paul II), au-dessus de la statue de la Sainte Vierge de la grotte (là où justement, il est urgent de re-couronner la statue de Notre Dame dans la grotte de Lourdes), et visible, depuis le monde entier par Internet, durant plusieurs jours, sur le site du sanctuaire de Lourdes.
Je suis vraiment peiné de constater, après avoir lu et écouté de nombreux médias, que pas une seule voix ne s'est élevée pour essayer de dissuader le Saint Père Benoît XVI de cette décision gravissime pour l'Eglise et pour le monde.
Pas un Cardinal, pas un seul Evêque n'a parlé en ce sens... J'y vois beaucoup de confusion et de tiédeur. Je trouve cela étrange, comme si le monde entier était pressé de voir partir ce Pape qui dispose de tous ses esprits. Pourtant, je crois me souvenir que le Pape Paul VI voulu à trois reprises se démettre de sa charge du fait de douleurs insupportables dues à l’arthrose. Son entourage réussit pourtant à chaque fois à l’en dissuader.
Etre appelé à prendre la tête de l'Eglise comme Pape n'est pas une charge humaine reçue des hommes pour un temps limité, c'est une mission surnaturelle reçue de l'Esprit-Saint pour l'Eternité et on ne peut s'en détourner comme notre Pape Benoît XVI le fait.
Mais comme je n'ai pas la prétention de tout comprendre, je dirai simplement qu'il ne se passe rien ici-bas que Dieu ne permette ...
Comme il est d’usage, il n'existe qu'une seule exception dans l’histoire de l’Eglise qui ne fournit qu’un exemple similaire de renonciation d’un pape, saint Célestin V. Un pauvre ermite qui, en 1294, fut arraché à sa cellule monastique par un conclave qui n’arrivait pas à conclure. L’année même de son élection, au bout de cinq mois, le Pape Célestin V s’était démis d’une charge dont il ne se sentait pas digne, aspirant à la vie d’ermite qui était la sienne auparavant.
Concernant sa renonciation, le Pape Benoît XVI avait donné un signe important que l’on comprend mieux aujourd’hui. Le 28 avril 2009, le pape Benoît XVI s’est rendu à L’Aquila pour prier pour les victimes du séisme avant de se rendre à la basilique, très endommagée, de Notre-Dame de Collemaggio. Les reliques du saint pape Célestin V avaient été sauvées des décombres et Benoît XVI a déposé là le pallium qu’il a reçu le jour de son intronisation papale. Ce geste symbolique prend une force extraordinaire en ce 11 février où Benoît XVI annonce sa renonciation.
Il a fait allusion à ce geste un an plus tard, le 4 juillet 2010, lorsqu’il s’est rendu dans la région, à Sulmona pour le « pardon de Célestin V ». Dans son homélie, il a dit :
« Je me suis moi-même rendu dans cette basilique, en avril de l’année dernière, après le tremblement de terre qui a dévasté la région, pour vénérer le reliquaire contenant sa dépouille et laisser le pallium reçu le jour du début de mon pontificat ».
Tous les autres pontifes ont assumé leur fonction jusqu'à leur dernier souffle en acceptant toutes les épreuves de la maladie et de la vieillesse. Le Seigneur n’avait t-il pas annoncé à Saint Pierre : « En vérité, en vérité… quand tu auras vieilli, tu étendras les mains, et un autre te passera la ceinture et te mènera là où tu ne voudrais pas aller ». (Jean 21 : 18).
En ce qui concerne sa fatigue physique, cela n'est pas un problème, car il peut se faire représenter par les chefs de dicastères.
Je comprends cette fatigue, mais à cette charge, l'Esprit-Saint envoie toujours la grâce de l'instant pour supporter la fatigue et les épreuves.
Dans la parabole du pauvre Lazare, Jésus nous annonce : « Et Abraham de dire : Ils ont Moïse et les Prophètes ; qu'ils les écoutent ». (Luc 16 : 29).
Il est bon à cet instant de la longue histoire de l’Eglise d’évoquer la figure de Moïse, qui gravit la montagne et prie pour le peuple d’Israël qui, dans la vallée, combat contre Amalek. Aidé par Aaron et Hur qui soutiennent ses bras, Moïse intercède par sa prière pour que Josué obtienne la victoire sur les Amalécites :
« Moïse dit alors à Josué : "Choisis-toi des hommes et demain, sors combattre Amalek ; moi, je me tiendrai au sommet de la colline, le bâton de Dieu à la main".
Josué fit ce que lui avait dit Moïse, il sortit pour combattre Amaleq, et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline. Lorsque Moïse tenait ses mains levées, Israël l'emportait, et quand il les laissait retomber, Amalek l'emportait.
Comme les mains de Moïse s'alourdissaient, ils prirent une pierre et la mirent sous lui. Il s'assit dessus tandis qu'Aaron et Hur lui soutenaient les mains, l'un d'un côté, l'autre de l'autre. Ainsi ses mains restèrent-elles fermes jusqu'au coucher du soleil.
Josué défit Amalek et son peuple au fil de l'épée. (Exode 17 : 9-13).
Je vois dans cette décision du renoncement, un Pape courageux baisser les bras à cause de la trop grande fatigue due à l’âge, une forme silencieuse d’appel à l’aide et l’urgente nécessité de lui proposer l’aide et le soutien nécessaire pour celui qui s’y sent appelé (quitte même à se désister pour cela d’une charge d’Evêque !).
Depuis plusieurs années, j'ai rassemblé et étudié plus d'un millier de prophéties chrétiennes.
J’ai appliqué les conseils éclairés de Saint Paul pour discerner et en comprendre le sens caché :
- « N'éteignez pas l’Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Éprouvez toutes choses et retenez ce qui est bon ; gardez-vous de toute espèce de mal ».
(Saint Paul, 1° Epître aux Thessaloniciens 5, 19-22).
- « Les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes ; car Dieu n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix ».
(Saint Paul, 1° Epître aux Corinthiens 14, 29-35.)
Pour qui a gardé les repères de la Foi, les Commandements et les Sacrements, les prophéties, dans leurs grandes lignes, disent toutes les mêmes choses. Les étudier consiste à observer un paysage lointain. Plus on s’en rapproche en distance de longueur et de temps, plus les détails deviennent précis. Elles sont convergentes, concordantes, complémentaires et elles décrivent l’immense fresque des temps à venir.
Lors de ses apparitions à Kérizinen, en Bretagne, le 26 avril 1961, Notre-Dame délivra cette parole capitale à sa messagère Jeanne-Louise Ramonet :
« ...mon Fils Lui-Même n'a pas révélé, dès les premiers jours, toute la perfection de la morale évangélique et tous ses secrets et mystères à ses propres apôtres. Et c'est pourquoi Dieu permet les messages actuels, qui sont comme des paraboles contenant de profonds mystères cachés dans ce qui n'est pas encore exploré. Il est donc temps de les étudier, car ils vous donneront la vraie lumière sur l'avenir. Seul le surnaturel a le secret de la vraie science... ».
Un extrait clair et net de nature à tempérer la vanité de certains pseudo-scientifiques rangeant les faits du monde surnaturel dans le fourre-tout pratique du « paranormal » et des « pouvoirs cachés de l’homme »...
Aucune des prophéties chrétiennes reçues depuis des siècles ne parle d’une renonciation d'un Pontife pour la Fin des Temps, par contre, plusieurs dizaines de prophéties annoncent la fuite d'un Pape chassé du Vatican durant une très grave période de crise, à la suite d’un schisme provoqué par la proclamation d’un dernier dogme marial et du fait d'émeutes sur fond de guerres civiles dans les capitales et les grandes villes, pour cause de banqueroute universelle... Ce Pape fuira Rome en marchant sur les cadavres de ses prêtres et en priant pour les âmes des cadavres qu'il trouvera en chemin. Avec quatre cardinaux, il se rendra en Allemagne… puis en France…
Quoique qu’on en pense maintenant et dans la confusion des analyses raccrochées au monde, à l’étude des évènements annoncés, nous demeurons dans l’attente de la proclamation du doctorat du père Saint Louis Marie Grignion de Montfort qui est prêt depuis plus de dix ans. Un ancien provincial montfortain a annoncé que si le bienheureux Pape Jean-Paul II ne pouvait l’annoncer, son successeur serait obligé de le proclamer. Au-delà du triomphe de ses écrits sur la Vierge Marie et le saint Rosaire que cela amènera, le père de Montfort a prophétisé « les Apôtres des Derniers Temps » et le dernier dogme marial : « Marie Co-rédemptrice, Médiatrice et Avocate » (qui est aussi prophétisé en d’autres lieux) ; cet événement heureux sera un fait majeur pour l'Église. Les ultra-progressistes s'insurgeront contre cette proclamation car elle attribuera un privilège supplémentaire à la Vierge Marie qui n'est pas attesté historiquement. Elle engagera aussi l’infaillibilité du pape, notion que les protestants refusent également, mais cette proclamation est nécessaire à l’humanité pour nous permettre de traverser la période de purification de la Grande Tribulation.
De plus, à Garabandal, il a été annoncé qu'il ne restait que trois papes avant la Fin des Temps... Cette "prophétie des 3 papes" est un élément secondaire de l’histoire de Garabandal. Elle ne fait pas partie des quatre annonces majeures : l’Avertissement, le Miracle, le Châtiment et le Signe perpétuel, visible jusqu’à la Fin du Monde. Cependant cette prophétie des "3 papes" est intéressante, vu qu’il s’agit d’un indice de temps sur les événements à venir : Conchita aurait dit, le jour de la mort de Jean XXIII, qu’il n’y aurait plus que trois papes avant la Fin des Temps.
Voici la fameuse conversation de Conchita Gonzalez (la principale voyante de Garabandal) avec sa mère Aniceta et Mme Ortiz :
Le jour où le glas de Garabandal annonçait le décès de Jean XXIII, mort le 3 juin 1963, ces trois femmes se dirigeaient vers l’église du village.
Aniceta disait : « Le pape est mort ».
Conchita : « Ah oui, le pape est mort. Il y aura encore trois papes ! »
Rentrées à la maison, et profitant du départ de Mme Ortiz, la mère continue à interroger sa fille.
– Comment sais-tu qu’il n’y aura plus que trois papes ?
– Je le sais de la Sainte Vierge. En fait, il y en aura encore quatre, mais il y en a un qu’elle ne compte pas.
– Pourquoi elle ne le compte pas ?
– Elle ne me l’a pas dit. Elle a seulement dit que l’un d’entre eux ne règnera que très peu de temps.
– C’est pour ça qu’elle ne le compte pas ?
– Ça, elle ne l’a pas dit. [...].
Dans la suite de la conversation, Conchita explique à sa mère que Notre-Dame parlait aussi du retour de son Fils, que les Églises séparées retrouveront l’unité et qu’il n’y aura plus qu’une seule religion…
En comparant les paroles de Conchita avec la Prophéties des Papes de Saint Malachie d’Armagh, Nous pouvons constater qu’elle sont concordantes et en déduire que Benoît XVI qui est le quatrième et dernier pape, c’est à dire celui des évènements de la Fin des Temps, avant l'antipape annoncé par Saint François d’Assise.
Sur son lit d’agonie, Saint François d’Assise révéla à ses frères, au début d’octobre de l’an de grâce 1226 de l’incarnation du Seigneur, après vingt années d’adhésion parfaite au Christ en suivant la vie et les traces des apôtres :
« Mes frères agissez avec force, ayez de la fermeté et soyez dans l’attente du Seigneur. Une grande époque de tribulations et d’affliction dans laquelle de grands périls et des embarras temporels et spirituels pleuvront, la charité d’un grand nombre se refroidira et l’iniquité des méchants surabondera. Le pouvoir des démons sera plus grand que d’ordinaire, la pureté immaculée de notre congrégation religieuse et des autres sera flétrie, au point que très peu parmi les chrétiens voudront obéir au vrai Souverain Pontife et à l’Eglise Romaine avec un cœur sincère et une charité parfaite.
Au moment décisif de cette crise, un personnage non canoniquement élu, élevé à la Papauté, s’efforcera avec adresse de communiquer à beaucoup le poison mortel de son erreur.
Alors les scandales se multiplieront, notre congrégation religieuse sera divisée, parmi les autres, plusieurs seront complètement détruites, parce que leurs membres ne s’opposeront pas mais consentiront à l’erreur. Il y aura tant et de telles opinions et divisions dans le peuple, et chez les religieux et chez les clercs que si ces jours mauvais n’étaient abrégés, comme l’annonce l’Evangile, même les élus tomberaient dans l’erreur (si cela se pouvait), si dans un tel ouragan ils n’étaient pas protégés par l’immense miséricorde de Dieu…
Alors la vérité sera tenue dans le silence par certains prédicateurs alors que d’autres la foulant aux pieds la nieront. La sainteté de vie sera tenue en dérision par ceux qui la professent extérieurement, c’est pourquoi Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un digne pasteur, mais un exterminateur." »
Ce texte est la traduction littérale du texte latin figurant dans les très officielles "Opera Omnia" de saint François d’Assise (Imprimerie de la Bibliothèque Ecclésiastique – Paris 1880, colonne 430). Cette prophétie qui en gène plus d’un, aurait été expurgée depuis bien longtemps s'il y avait eu le moindre doute sur son authenticité.
Le plus inquiétant pour l’avenir de l’Eglise est dans les prophéties de Saint François, l’annonce de cet antipape annoncé à la fin des temps, qui mettrait l’église par terre, avant son triomphe final. Cette prophétie est reprise dans les Œuvres de saint François d’Assise, édités à Paris en 1641 :
« Un factieux, avide de la papauté, mais dont l’élection ne sera pas canonique, met en œuvre toutes sortes d’astuces pour infecter un grand nombre de personnes de sa propre corruption ».
Lors des apparitions aux deux jeunes bergers sur la sainte montagne de La Salette, le 19 septembre 1846, Notre Dame a annoncé certainement pour les derniers papes Jean-Paul II et Benoît XVI :
« Le Saint-Père souffrira beaucoup. Je serai avec lui jusqu'à la fin pour recevoir son sacrifice. Les méchants attenteront plusieurs fois à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours ; mais ni lui, ni son successeur... ne verront le triomphe de l'Église de Dieu ».
Nous pouvons donc supposer que nous approchons des temps difficiles annoncés, entre autres, au chapitre 675 du catéchisme de l’Eglise catholique :
L’Épreuve ultime de l’Église [5]:
675 - Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18,8 ; Mt 24,12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc 21,12 ; Jn 15,19-20) dévoilera le "mystère d’iniquité" sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2 Th 2,4-12 ; 1 Th 5,2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2,18. 22).
676 - Cette imposture antichristique se dessine déjà dans le monde chaque fois que l’on prétend accomplir dans l’histoire l’espérance messianique qui ne peut s’achever qu’au-delà d’elle à travers le jugement eschatologique : même sous sa forme mitigée, l’Église a rejeté cette falsification du Royaume à venir sous le nom de millénarisme (cf. DS 3839), surtout sous la forme politique d’un messianisme sécularisé, "intrinsèquement perverse" (cf. Pie XI, enc. "Divini Redemptoris" condamnant le "faux mysticisme" de cette "contrefaçon de la rédemption des humbles" ; GS 20-21).
677 - L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19,1-9). Le Royaume ne s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église (cf. Ap 13,
selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20,7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21,2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20,12) après l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3,12-13).
Je vois donc dans cette renonciation de Benoît XVI un appel à l’aide, plutôt qu’une faiblesse, suite à toutes les pressions et les horreurs qu'il subit depuis le jour de son élection, ou encore une stratégie très fine pour démasquer et prendre le contre-pied des nombreux loups qui l'entourent.
En ce qui me concerne, je vous demande d'informer le Saint Père que le baptisé que je suis refuse sa démission, et j'espère de nombreux autres baptisés sauront se rallier à ma position de refus. En fait, mon problème est surtout que je ne souhaite pas cautionner l’élection éventuelle d’un antipape qui a déjà été élu par les loges. Nous souhaitons donc un vrai Pape et non pas une marionnette avenante.
Quoiqu’il en soit, j’ai du mal à croire que le Saint Père revienne sur sa décision murement réfléchie et inspirée par l’Esprit-Saint, mais cette initiative serait de nature à lui manifester notre affection et notre attachement à l’Eglise et, ainsi, à infléchir pour l’élection du futur Pape, les Cardinaux indécis sur leur vote dans le sens de la mission confiée par Jésus à l’Apôtre Pierre :
« Simon, Simon, voici que Satan vous a réclamés pour vous passer au crible comme le froment. Mais moi, j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras revenu, affermis tes frères ». (Luc 22 : 31).
Il nous faut prier pour notre Saint-Père, pour l'Eglise, pour son successeur, pour le monde et pour chacun d’entre nous.
Voici sa prophétie donnée lors de sa première homélie de la messe inaugurale de son Pontificat, au lendemain de son élection, le dimanche 24 avril 2005 :
"... Chers amis – en ce moment je peux seulement dire : priez pour moi, pour que j’apprenne toujours plus à aimer le Seigneur.
Priez pour moi, pour que j’apprenne à aimer toujours plus son troupeau – vous tous, la Sainte Église, chacun de vous personnellement et vous tous ensemble.
Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups.
Priez les uns pour les autres, pour que le Seigneur nous porte et que nous apprenions à nous porter les uns les autres..."
Ce jour, 18 février 2013, Zenit.org indiquait que le Père Lombardi disait : « Benoît XVI ne nous abandonne pas au moment des difficultés ; avec foi, il invite l’Eglise à se confier à l’Esprit-Saint et à un nouveau Successeur de Pierre ».
Le problème est que l’Eglise et celui qui la dirige se retrouvent embourbés dans des difficultés et des attaques sans précédant, tel qu’aucun pape n’en a connu. Jean-Paul II et Benoît XVI sont des papes-martyrs, déjà de leur vivant. Et aujourd’hui, malgré son désir de renonciation, c’est une nouvelle attaque qui surgit contre le pape Benoît XVI, ignoble et indigne telle que seuls des suppôts donnés à Satan peuvent l’imaginer ; dans une cabale aussi méchante que délirante, on veut faire supporter au Saint Père la responsabilité d’actes qu’il n’a jamais commis.
Il est à souhaiter que cette dernière attaque produira un effet contraire à celui projeté par les officines occultes et le concile des méchants… Affaire à suivre.
Bien respectueusement à vous.
R. S.