29 octobre: Bienheureuse Chiara Badano Luce :Chiara Badano dite Chiara Luce (Sassello, 29 octobre 1971 - Sassello, 7 octobre 1990) est une jeune femme ayant appartenu au Mouvement des Focolari, morte à 18 ans d'un cancer des os.
Déclarée vénérable par l'Église catholique romaine le 3 juillet 2008, elle a été proclamée bienheureuse le 25 septembre 2010 au Sanctuaire de Notre-Dame du Divin Amour, à Rome.
Source : Wiképédia
Neuvaine à la Miséricorde de Dieu par l’intercession de la Bse Chiara Badano : Père d’immense bonté, je te remercie pour le don si grand de la foi. Conscient de mes imperfections, je te demande la grâce d’imiter plus fidèlement les exemples de ton Fils Jésus, en suivant la vie des Saints. Notre Père… Je vous salue Marie… Gloire au Père…
Dieu saint et tout-puissant, je suis conscient de mes imperfections à savoir, à pouvoir, à vouloir et à agir. Je me confie pourtant à ta bonté infinie, afin que tu m’accordes la grâce d’obéir à tes commandements et d’accueillir les décisions de ta Providence, en imitant la docilité de ton Fils Jésus: «Que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la tienne» (Lc 22, 42). (...)
Lirehttp://www.hommage-a-la-misericorde-divine.com/chiara-luce-badano.jpg?v=463gkg6f0bkxak3
Biographie de la Bse Chiara Badano Luce.http://nova.evangelisation.free.fr/leblanc_chiara_badano.htm
Quelques paroles de la Bse Chiara Luce.CHIARA BADANO LUCE
(…) Elle est une petite fille normale, mais avec un quelque chose en plus : elle est docile à la grâce et au dessein de Dieu sur elle, qui se dévoilera peu à peu.
Le jour de sa première communion, elle reçoit en cadeau les Évangiles. Ce sera pour elle un « magnifique livre » et « un extraordinaire message ».
Elle dira : « De même qu’il est facile pour moi d'apprendre l’alphabet, je dois aussi apprendre à vivre l’Évangile ! »
À 9 ans, elle devient une Gen (abréviation de Nouvelle Génération), au sein du Mouvement des Focolari.
Elle fait sienne cet idéal et peu à peu y entraîne aussi ses parents.
Dès ce moment, sa vie sera une ascension constante, dans sa tension à « mettre Dieu à la première place ».
Elle poursuit ses études au Lycée classique, offrant à Jésus chaque difficulté et souffrance.
Mais à 17 ans, à l’improviste, une douleur lancinante à l’épaule gauche révèle, après des examens et des interventions inutiles, un ostéosarcome (la plus courante des tumeurs malignes osseuses primaires) ; un calvaire d’environ deux ans commence.
En apprenant le diagnostic, Chiara ne pleure pas, elle ne se rebelle pas : elle reste en silence, et après 25 minutes affleure sur ses lèvres le « oui » à la volonté de Dieu. Elle répétera souvent : « Si tu le veux, Jésus, je le veux moi aussi ».
Elle ne perd pas son sourire lumineux. Elle subit des cures très douloureuses et entraîne ceux qui la côtoient dans ce même Amour.
Elle refuse la morphine, car celle-ci lui enlève sa lucidité ; elle offre tout pour l’Église, pour les jeunes, les non-croyants, le Mouvement, les missions…, en restant sereine et forte.
Elle répète : « Je n’ai plus rien, mais j’ai encore le cœur et avec lui je peux toujours aimer ».
Sa petite chambre, à l’hôpital de Turin et chez elle, est un lieu de rencontre, d’apostolat, d’unité : c’est son église.
Les médecins aussi, certains non pratiquants, sont bouleversés par la paix qui émane d’elle, et plusieurs redécouvrent Dieu.
Ils se sentaient « attirés comme par un aimant » et s’en souviennent encore aujourd’hui ; ils parlent d’elle et l’invoquent.
À sa maman, qui lui demande si elle souffre, elle répond : « Jésus m’enlève, avec du chlore, mes points noirs, et le chlore ça brûle. Ainsi, quand j’arriverai au Paradis, je serai blanche comme la neige ».
Elle est convaincue que Dieu l’aime. Elle affirme en effet : « Dieu m’aime immensément » et, après une nuit particulièrement dure, elle arrive à dire : « J’ai beaucoup souffert, mais mon âme chantait… »
Peu avant de partir pour le Ciel, elle confiera à ses amis qui viennent lui rendre visite pour la consoler, mais qui repartent consolés eux-mêmes : « ... Vous ne pouvez pas imaginer la relation que j’ai maintenant avec Jésus…
Je me rends compte que Dieu me demande quelque chose de plus, de plus grand. Peut-être pourrai-je rester sur ce lit pendant des années, je n’en sais rien.
La seule chose qui m’intéresse, c’est la volonté de Dieu, bien faire celle de l’instant présent : jouer la partition de Dieu.
Si on me demandait si je veux marcher (l’avancement de la maladie lui paralyse les jambes, avec des contractions très douloureuses), je dirais que je ne le veux pas, car ainsi je suis plus proche de Jésus ».
Sur l’insistance de beaucoup, Chiara écrit ce billet à la Sainte Vierge : « Maman du Ciel, je te demande le miracle de ma guérison. Mais si cela n’est pas la volonté de Dieu, je te demande la force de ne jamais céder ! » Elle restera fidèle à cet engagement.
Depuis toute petite, elle souhaite « ne pas donner Jésus [à ses amis] avec des mots, mais avec [son] comportement ».
Ce n’est pas toujours facile ; en effet, elle répétera à plusieurs reprises : « Comme c’est dur d’aller à contre-courant ! »
Et pour parvenir à surmonter chaque obstacle, elle répète : « C’est pour toi, Jésus ! »
Pour bien vivre le christianisme, Chiara participe le plus souvent possible à la Messe quotidienne : elle y reçoit le Jésus qu’elle aime tant.
Elle lit la Parole de Dieu et la médite. Elle réfléchit souvent à l’affirmation de Chiara Lubich : « Je serai sainte si je suis sainte tout de suite ».
À sa maman, qui est préoccupée à l’idée qu’elle la perdra bientôt, elle répète sans cesse : « Aie confiance en Dieu, ainsi tout est fait ». Et : « Quand je ne serai plus là, suis Dieu et tu trouveras la force d’aller de l’avant ».
Elle accueille avec gentillesse ceux qui viennent lui rendre visite. Elle écoute et offre sa propre douleur, car, dit-elle, « j’ai de quoi faire ! » Durant ses dernières rencontres avec son Évêque, elle démontre un grand amour pour l’Église. Entre-temps, le mal progresse et les douleurs augmentent.
Pas une plainte ; sur ses lèvres : « Avec toi, Jésus ; pour toi, Jésus ! » Chiara se prépare à la rencontre : « C’est l’Époux qui vient me trouver », et elle choisit son habit de noces, les chants et les prières pour « sa » Messe ; la liturgie devra être une « fête », et « personne ne devra pleurer ».
En recevant pour la dernière fois Jésus Eucharistie, elle paraît immergée en Lui et supplie qu’on lui récite « la prière : Viens, Esprit Saint, envoie-nous, du Ciel, un rayon de ta Lumière ».
Le nom de « Lumière » (Luce) lui sera donné par Chiara Lubich, avec qui elle a une relation épistolaire intense et filiale depuis son enfance.
Elle n’a pas peur de mourir. Elle dit à sa maman : « Je ne demande plus à Jésus de venir me chercher pour m’emmener au Paradis, parce que je veux encore lui offrir ma douleur, partager encore un peu la croix avec lui ».
Source : http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/octobre/bienheureuse-chiara-luce-badano-1971-1990-fete-le-07-octobre.html
Neuvaine à la Bse Chiara Badano Luce.http://www.chiaralucebadano.it/index.php?option=com_content&view=article&id=255&Itemid=325&lang=fr-fr
Conversion de la Bse Chiara Luce Badanohttps://hozana.org/publication/12887-conversion-de-chiara-luce-badano
SAINTS DU 29 OCTOBREhttps://nominis.cef.fr/contenus/fetes/29/10/2018/29-Octobre-2018.html
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde