UNE BIEN TRISTE RÉALITÉ : QUE NOUS SAVIONS DEPUIS LONGTEMPS ..
======================Le cardinal Godfried Danneels avoue avant de mourir : "11 cardinaux ont travaillé dans l'ombre pour forcer le pape Benoît XVI à démissionner"...
Onze cardinaux excommuniés (Bergoglio en fait partie) : il n'y a pas eu de succession.
Le cardinal Godfried Danneels avant de mourir avoue que lui et d'autres cardinaux ont planifié et architecté forçant le pape Benoît XVI à démissionner et à quitter Bergoglio.
Selon le droit canon, ce groupe, qui définit lui-même une « mafia », est excommunié « latae sententiae » ipso facto sans autre forme de procès.
Au cours de la dernière semaine de septembre 2015, le Cardinal Daneels a présenté sa biographie à Bruxelles, et a reconnu l'existence d'un groupe de cardinaux qui ont travaillé ensemble pour
contrôler la succession de Giovanni Paolo II et la prévenir et au cardinal Joseph Ratzinger (qui était alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi) pour monter à la chaise de Pierre.
Dans la présentation, Danneels a révélé qu'il avait fait partie d'une "mafia" (avec les cardinaux Kasper, Silvestrini, Van Luyn, Martini, Murphy O'Connor, Lehman, da Cruz, Husar et Hume) et
qu'ils ont conspiré dans l'ombre pour forcer le pape Benoît XVI à se résigner et "permettre" à Jorge Mario Bergoglio de devenir pape.
Il faut signaler que cette "mafia", connue parmi eux sous le nom de " Groupe St Galle" (à cause du monastère suisse où se tenaient leurs réunions) s'est
auto-excommunié de l'Église, comme
promulguée par la constitution apostolique Universi Dominici Gregis de Jean-Paul II, qui interdit les complots et accords entre cardinaux pour influencer l'élection d'un pape.
L'article 79 dit : « Confirmant les exigences de mes prédécesseurs, j'interdis à quiconque, même s'il est cardinal, pendant la vie du pape et sans le consulter, de faire des plans
concernant l'élection de son successeur, ou de promettre des votes, ou de prendre des décisions à ce sujet en réunions privées ".
Et à l'article 81 il est établi que ces accords sont sanctionnés par l'excommunication "latae sententiae" (c'est-à-dire automatique, ipso facto, sans autre forme de procès sans qu'il soit nécessaire
d'un jugement ou d'une sanction de l'Eglise).
L'information révélée par le cardinal Daneels, quelques jours avant le synode, coïncide avec celle publiée par Austin Ivereigh, dans son livre « Le grand réformateur » dans lequel il révèle
comment, lors du conclave de 2013, quatre cardinaux du groupe de la Mafia Saint Galen (Kasper, Lehman, Danneels et Murphy O'Connor) se réunissent pour orchestrer illégalement
une campagne en faveur de l'élection de Bergoglio, après que ce dernier ait accepté d'être le bénéficiaire de cette parcelle.
Les déclarations faites par le cardinal Danneels dans la présentation de sa biographie conduisent aux conclusions suivantes :
1) Un groupe de huit cardinaux est hors de l'église aujourd'hui : Bergoglio, Danneels, Kasper, Silvestrini, Van Luyn, Husar, Lehman et O'Connor. Trois sont déjà morts sans aucune preuve
que l'excommunication ait été levée : Hume, Da Cruz et Martini.
[color:cfdd=rgba(0, 0, 0, 0)]2). La renonciation de Benoît XVI était invalide, en raison de la pression morale, d'un complot contre lui par lequel il a été forcé de démissionner. Le successeur
a été élu invalidement par CONSPIRATION[color:cfdd=rgba(0, 0, 0, 0)], expressément interdite par la Constitution qui régit la succession.
3). Bien qu'il y ait déjà des éléments qui prouvent l'existence de ce complot, c'est la première fois que l'un des complotistes l'accepte ouvertement et publiquement.
Comme disent généralement les avocats, lorsqu'il y a des aveux, la manifestation n'est pas nécessaire.
Si Bergoglio est excommunié Latae Santentia, comment peut-il être pape ? Ou alors son élection serait valide mais aucun catholique n'aurait le droit de lui obéir et l'écouter en tant qu'excommunié ; il serait un pape valide sans l'Eglise ?