Ad Cæli Reginam LETTRE ENCYCLIQUE DE SA SAINTETÉ PIE XII
SUR LA ROYAUTÉ DE LA BIENHEUREUSE VIERGE MARIE
ET L'INSTITUTION DE SA FÊTEhttp://alexandrina.balasar.free.fr/ad_caeli_reginam.htm
Prière à Marie Reine de FranceÔ Marie conçue sans péché, notre bonne Mère qui avez voulu que nous Vous invoquions sous le vocable si consolant à nos cœurs de Reine de France, voyez prosternés à Vos pieds vos Sujets malheureux. Ayez pitié de nous, soyez notre Avocate auprès de Votre divin Fils, notre Roi bien aimé. Nous savons que nous l'avons grandement offensé, outragé même, que nous avons méprisé Ses Commandements, foulé aux pieds les Saintes Lois de Son Eglise; mais nous savons aussi, Ô aimable Souveraine, que Vous êtes toute puissante sur le Cœur de ce Roi d'Amour qui ne demande Lui-même qu'à pardonner; obtenez nous donc cette Paix nationale et individuelle tant désirée de tous pour la plus grande gloire de Votre cher Fils. Ainsi soit il.
Source : imagessaintes.canalblog.com
Prière de confiance à Marie Reine-des-coeurshttp://www.smrdc.org/smrdc_priere.php
Prière : Marie, Reine et Mère de Miséricorde
« Ô Reine et Mère de Miséricorde, qui dispensez les grâces à tous ceux qui recourent à vous, avec la libéralité d'une Reine, et l'amour de la plus tendre mère ; je me recommande à vous, dénué que je suis de mérites et de vertus, et insolvable envers la justice divine. Ô Marie, vous tenez la clé des célestes Miséricordes ; ne vous souvenez pas de mes péchés, et ne me laissez pas dans cet affreux dénuement. Vous êtes si libérale avec tous, accordant toujours plus qu'on ne vous demande, montrez-vous de même à mon égard. Ma souveraine, protégez-moi ; là se bornent mes vœux. Je ne crains pas les démons, car vous êtes plus puissante que l'enfer ; je ne redoute point mes péchés, car un mot que vous adresserez à Dieu suffira pour m'obtenir un pardon général ; je ne tremble pas devant l'indignation du Seigneur, que j'ai offensé, car il s'apaise à une seule de vos prières. En un mot, si vous me protégez, j'espère tout, parce que vous pouvez tout. Ô Mère de Miséricorde, je sais que vous trouvez du plaisir et de la gloire à soulager les plus misérables, et que, dès qu'ils ne s'obstinent pas dans le mal, vous pouvez les secourir. Je suis pécheur, mais, loin de m'obstiner, je veux changer de vie ; ainsi vous pouvez venir à mon aide : secourez-moi et sauvez-moi. Je me remets aujourd'hui entièrement dans vos mains. Dites-moi ce que je dois faire pour plaire à Dieu, et je le ferai ; j'espère le faire avec votre secours, ô Marie, ma Mère, ma lumière, ma consolation, mon refuge, mon espérance. Ainsi soit-il, ainsi soit-il, ainsi soit-il. »
St Alphonse-Marie de Liguori, Les gloires de Marie (ch. V, II, Prière), Traduction nouvelle, Tome I, Paris, Gaume Frères, 1852.Source : chemindamourverslepere.com
Assomption et royauté de Marie par Saint Jean Damascène La mort de Marie est un prélude de sa glorification imminente: « Oh ! Comment la source de la vie est-elle conduite à la vie en passant par la mort ?
Oh surprise ! Celle qui dans l'enfantement a surmonté les limites de la nature, maintenant se courbe sous ses lois, et son corps immaculé est soumis à la mort !
Il faut en effet déposer ce qui est mortel pour revêtir l'incorruptibilité, puisque le Maître de la nature lui-même n'a pas refusé l'expérience de la mort. Car il meurt selon la chair et par sa mort il détruit la mort, à la corruption il confère l'incorruptibilité, et fait du trépas la source de la résurrection. »
« Si, comme le veut la nature, ton âme toute sainte et bienheureuse est séparée de ton corps béni et immaculé, et si ce corps est livré à la tombe suivant la loi commune, cependant il ne séjourne pas dans la mort et n'est pas détruit par la corruption.
Pour celle dont la virginité est restée intacte dans l'enfantement, au départ de cette vie, le corps est gardé sans décomposition, et placé dans une demeure meilleure et plus divine, hors des atteintes de la mort, et capable de durer pour toute l'infinité des siècles. »
« Il fallait que celle qui dans l'enfantement avait gardé intacte sa virginité, conservât son corps sans corruption, même après sa mort.
Il fallait que celle qui avait porté petit enfant son Créateur dans son sein, vécut dans les tabernacles divins.
Il fallait que l'épouse que le Père s'était choisie vint habiter au ciel la demeure nuptiale.
Il fallait que celle qui avait contemplé son Fils en Croix et reçu alors au cœur le glaive de douleur qui l'avait épargnée dans son enfantement, le contemplât assis auprès de Son Père.
Il fallait que la Mère de Dieu entrât en possession des biens de son Fils, et fût honorée comme Mère et servante de Dieu par toute la création. L'héritage passe toujours des parents aux enfants ; ici cependant, pour emprunter l'expression d'un sage, les sources du fleuve sacré remontent vers leur origine. Car le Fils a soumis à sa mère la création tout entière. »
Source : it.mariedenazareth.com
SAINTS DU JOURhttp://nominis.cef.fr/contenus/fetes/22/8/2017/22-Aout-2017.html
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde