Françoise consacré
Messages : 9410 Date d'inscription : 12/06/2016
| Sujet: L'anéantissement de Paris... quand des âmes privilégiées en parlent. Mar 22 Aoû - 7:39 | |
| ... Tout simplement en partage : Marie-Julie Jahenny (XIXème-XXème siècles)
« Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu’il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ? » A travers cette extase, nous sommes avertis de la gravité de ce qui se prépare pour Paris. Les bons sont incités à fuir, en d’autres termes ceux qui auront écouté les prophéties et les avertissements devraient en tenir compte et quitter les lieux afin d’éviter une mort atroce et instantanée. « Heureux, dit Saint Michel, ceux qui sauront abandonner ces murs et se réfugier loin de ce lieu pitoyable où les victimes s’amasseront en monceaux, où les places seront teintes de sang, comme de la pluie qui tombe dans l’orage. Mes enfants, dit la Sainte Vierge, ce fléau est allumé sur cette grande ville que le ciel a en horreur. C’est de cette ville que sortira le souffle infect. Ses murs s’écrouleront, et les flammes dévoreront ce luxe et ces cœurs sans foi. Les pierres en seront jetées au loin, mais elle sera rebâtie. » Cette prophétie résume bien ce que le Ciel pense de Paris en la qualifiant de « lieu pitoyable ». Une grande dévastation y est annoncée, c’est pourquoi ceux qui quitteront la ville avant la catastrophe seront soulagés d’avoir été épargnés. « Mes enfants, il ne s’en échappera pas cent, non, pas cent au milieu de cette immense ville coupable… Comptez-en douze de moins, vous aurez le chiffre véritable. Jamais peine pour moi ne fut plus grande. » Si l’on en croit cette prophétie, seuls quatre-vingt-huit personnes (cent moins douze) sortiront vivantes de Paris après que le feu céleste l’ait réduite à néant. Ce seront de grands miraculés, car survivre à une telle catastrophe relève quasiment de l’impossible. « Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s’étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate. Depuis longtemps je préviens… Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre ». C’est une autre extase qui nous prévient une fois de plus du sort de la ville de Paris et de la société ingrate qui l’occupera avant sa destruction, et qui périra avec la ville. « Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l’enfer où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur. » Rien ne sera épargné lorsque le feu ravagera la capitale. Le Palais Bourbon qui abrite l’Assemblée Nationale, là où sont fabriquées les mauvaises lois, sera bien évidemment entièrement détruit. Il ne restera qu’un immense trou à la place de ce lieu maudit.
Maria Bordoni (XXème siècle) :
« Avertissez, je vous en supplie. Monseigneur, les évêques, les prêtres et toutes les communautés de veiller à tout cela et de se munir après cela d’habits de laïques pour prendre la fuite quand il le faudra pour éviter le massacre. Je ne sais pas l’époque, mais je puis donner un signe. Il y aura une mort à Paris, et A ce moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et la France. De ce moment il faudra quitter Paris pour n’être pas massacré et consumé par les flammes. » La mort d’un personnage, sans doute très important pour la France, constituera une prémisse à la destruction de Paris, nous dit la prophète. Il ne faudra pas tarder à fuir la capitale dès que la nouvelle de cette mort surviendra, si l’on veut échapper aux massacres et aux flammes pour ne pas sombrer avec les murs de Paris.
Saint Césaire, Archevêque d’Arles (Vème-VIème siècle) :
« Horrible cliquetis d’armes ! Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie, noyée dans le sang. Puis la seconde ville du royaume et encore une autre sont détruites. » Il est intéressant de constater que Paris ne sera pas l’unique ville que Dieu châtiera pour ses crimes. Deux autres connaîtront le même destin. Si l’on se réfère à d’autres prophéties, Marseille est censée finir sous les eaux suite à un grand séisme et la troisième ville en question pourrait être Bordeaux ou Toulouse, mais ce ne sont que des hypothèses.
Père Nectou (1760) :
« Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu’il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s’enfuir ; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l’a détruite. » Le bouleversement épouvantable évoqué au début qualifie sûrement la Révolution Universelle (et surtout la prochaine guerre mondiale) que le Monde s’apprête à connaître. Paris sera donc détruite à cette période, et des signes permettront aux bons de s’enfuir avant que la catastrophe ne survienne, ce qui rappelle la prophétie de Marie-Julie au sujet des bons qu’elle incite à fuir de Paris.
Marianne Gaultier (1804) :
« La grande prostituée sera détruite par le feu. Mais l’Ange du Seigneur avertira les justes de Paris. Personne ne saura d’où est venu le feu. Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur. » Un autre qualificatif pour Paris : grande prostituée, une métaphore tout à fait méritée. Les justes (ou les bons) seront avertis de l’imminence de la Colère Divine et le feu qui détruira la ville surprendra tout le monde, car on n’aura pas idée que cela puisse arriver. Les Russes auront donc préparé leurs plans en secret. La mortalité sera très élevée à cause de tout cela.
Correspondance Hohenlohe (1828) :
« Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s’unira à la terre…. Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n’y verra plus que des précipices… Cette ville ne sera plus jamais rétablie. » Paris sera rayée de la carte comme Sodome et Gomorrhe (voir l’introduction du présent article), et durant trois jours d’affilés, elle brûlera de toutes parts et son anéantissement sera total et définitif, puisque rien ne sera reconstruit sur ses ruines ensuite.
Prophétie Bretonne :
« Lorsque la terre tremblera et que le feu jaillira de ses flancs ; quand Paris, la ville corrompue, sera fouillée comme une ruche; ce sera quand les chariots marcheront tout seuls… alors ce sera le temps prédit… Paris, la grande ville, avec tous les méchants qu’elle renferme, aura été engloutie dans l’enfer… » Cette prophétie parle elle aussi de la destruction de Paris, ville corrompue engloutie dans l’enfer. Elle est comparée à une ruche à cause de sa grande population et l’invention des voitures est évoquée ici aussi.
Marie-Josèphe Levadoux (XIXème siècle) :
« Notre Seigneur me dit: «Avertis mon peuple, et s’il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j’ai frappé Sodome et Gomorrhe. J’ai vu Paris rempli de sang! Des monceaux de cadavres! J’ai vu aussi au milieu d’une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris. » Une énième description de ce qui attend Paris. Beaucoup de sang et de morts, une nouvelle comparaison avec Sodome et Gomorrhe. Un panneau indiquera plus tard que Paris se trouvait sur le champ de ruines noircies qui se trouvera désormais à sa place.
Marie Lataste (XIXème siècle) :
Le Seigneur lui aurait demandé de prier sans cesse pour la France, en précisant : « Un jour, je vis l’Ange exterminateur planer sur la Grande Ville. Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d’une robe rouge, il portait un diadème sur la tête ; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l’Ange exterminateur (…) Oh Paris ! Ville exécrable, depuis longtemps tu as mérité mon indignation ! (…) Tes habitants te maudiront un jour, car tu les as plongés dans ton atmosphère infecte, et même ceux à qui tu as donné refuge te jetteront des malédictions, car ils auront trouvé la mort en ton sein. » L’Ange exterminateur représente ici le feu nucléaire des Russes qui sera à l’origine de la destruction de la capitale française. Il porte une robe rouge, signe du Communisme Russe (les racines de l’ex-Union Soviétique sont prêtes à se réveiller dès que la guerre surviendra, surtout avec le président belliqueux Vladimir Poutine) et un diadème, signe de puissance et de domination. Paris est vivement critiquée dans cette prophétie et on comprend que le sort qui lui est réservé semble largement mérité.
Prophétie d’Orval (1544) :
« Malheur à toi, grande ville ! Prends garde aux rois armés par le Seigneur ; mais déjà le feu t’a jeté à terre. Mais tes justes ne périront pas ; car Dieu les a entendus. La place du crime est purgée par le feu ; le grand courant a mené, rouge de sang, ses eaux jusqu’à la mer ; la Gaule, qu’on croyait brisée en morceau, se rassemble et se réunifie. Dieu aime la paix. Viens, jeune prince ; quitte l’île de la captivité ; rejoins le lion à la fleur blanche. (…) Si prudent et sage sera le rejeton de la Cape qu’on croira Dieu être avec lui. » L’anéantissement de Paris est inévitable mais les justes auront quitté la ville avant, grâce aux signes que Dieu leur enverra (ce qui rejoint les autres prophéties à ce sujet). Tout sera à feu et à sang, mais la France se relèvera malgré tout de ce grand bain de sang à l’aide du Grand Monarque évoqué dans cette prophétie.
Père Louis-Marie Pel (1945) :
« Les saisons n’existeront plus trois années au moins avant que la terre puisse redonner des herbes et de la végétation. Grande famine dans le monde entier. Paris sera détruite par la Révolution et brûlée par des tirs atomiques des Russes depuis Orléans et la région de Provins. Tandis que Marseille et la Côte d’Azur s’écrouleront dans la mer. » Sans doute l’une des prophéties les plus intéressantes de cet article. Les saisons n’existeront plus pendant au moins trois ans, il y aura une grande famine dans le monde et on a ici l’explication de l’origine du feu qui détruira Paris (que j’ai déjà évoqué plus haut) : les tirs atomiques des Russes depuis Orléans et ses alentours (qui sera sans doute occupée). Et j’en parlais également un peu plus haut, Marseille sera l’une des deux autres villes du pays qui sera châtiée. Elle s’effondrera dans la mer avec toute la Côte d’Azur.
La religieuse de Belley (1810) :
« Malheur ! Malheur ! Trois fois malheur à la cité de sang ! Malheur à la cité de l’hérésie ! Malheur à la cité du crime ! Les méchants veulent tout détruire ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde. Le jour de la justice est venu. Je vois à l’aspect de celui qu’on a méconnu, le monde fléchir et tomber. Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient. Ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre Roi. Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent. Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite ! »
De Berguille :
« Que ces ténèbres sont épaisses, ô mon Dieu! Que ce feu est dévorant! Je vois tout consumé. Protégez ces pauvres enfants; ils étouffent au milieu des flammes. Oui, Paris est la plus coupable des villes. Malheureuse cité maudite. Un jour elle sera consumée jusqu’à la dernière pierre.Malheur à ces diaboliques sociétés!… Je les vois, les misérables, ils accourent; quel affreux tumulte! Ville ingrate, elle n’est pas digne de prononcer le nom sacré de Jésus. Ville exécrable, tu veux nous mener aux abîmes. »
Marie Martel (1897) :
« La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit : ‘Oh! Paris. Paris n’a pas respecté les lois de mon divin Fils…Il sera châtié et détruit par le feu… Il y aura peu de monde qui restera… ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas … Paris sera détruit par le feu, s’il refuse de se convertir… voilà la punition qui lui est réservée! »
Saint Benoît-Joseph Labre :
« Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n’y restera pas sur l’autre. »
L’Abbé Souffrand (1827) :
« Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera. Alors, entre le cri : « tout est perdu » et « tout est sauvé », il n’y aura pour ainsi dire pas d’intervalle. Dans ces événements, les bons n’auront rien à faire, car ce seront les Républicains qui se dévoreront entre eux. » Voici maintenant quatre dernières prophéties, ce sont les plus longues de l’article, elles concernent toujours le même sujet : la destruction de Paris, ainsi que ses prémisses et conséquences. Elles sont explicites, c’est pourquoi je ne les commenterai que brièvement pour la plupart :
Religieuse de Chemillé (XIXème siècle) :
« C’était dans une grande ville ; la foule allait et venait, mais dans tout ce monde, personne ne s’occupait de Dieu ; tous ne pensaient qu’aux plaisirs sensuels. Soudain des ténèbres épouvantables couvrirent toute la terre ; c’était comme une fumée brune, tirant sur la couleur du feu. Le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut en feu. A ce spectacle terrifiant, la foule se mit à fuir comme pour sortir de la grande cité. Tout ce peuple était tellement épouvanté que les cheveux se dressaient sur la tête…Et alors un craquement que nulle langue ne peut rendre éclata. Personne ne saurait exprimer cet horrible fracas. Ces menaces regardent Paris. » La société actuelle est bel et bien décrite ici : l’athéisme et la recherche du plaisir matériel et du confort à tout prix. C’est surtout à Paris que ce mauvais train de vie est à son apogée, c’est pourquoi elle sera réduite en cendres par un feu destructeur, qui ne manquera pas d’effrayer ses habitants. « Le tonnerre grondait toujours dans les airs d’une manière effrayante lorsque j’entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère ; ils disparaîtront dans un moment. Tout l’univers sera étonné d’apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis : superbe, par ses crimes ; car je l’ai en abomination; c’est cette maudite Babylone qui s’est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser… Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère ; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant (…) Les flammes qui la dévoraient s’élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu’une vaste terre, noire comme du charbon. » La disparition de la capitale française étonnera le monde entier, d’autant plus que cela arrivera soudainement et en un instant, sans qu’on s’y attende. Ce qui explique la très grande mortalité qui en résultera. Une fois détruite, il ne restera plus qu’un vaste champ de ruines noircies, tout comme l’ont annoncé d’autres prophètes (voir plus haut).
Marie des Terreaux (1832) :
« L’année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L’année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l’abondance. À l’approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris. » « Au moment où la France sera châtiée d’une manière terrible, tout l’univers le sera aussi. On ne m’a pas dit comment. Il m’a été annoncé qu’il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n’en auraient pas été prévenus, croiraient toucher à leur dernière heure et penseraient être à la fin du monde. (…) Les choses qui doivent arriver seront une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu’il y aura de quoi sécher de frayeur. Il m’a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu’il n’y ait pas quelques bons qui périssent. Il m’a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour Moi. » » « Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche. » Lyon sera le refuge de ceux qui auront échappé de justesse à la mort dans Paris, car ils auront été avertis par le Ciel de l’imminence de l’événement. Je finirai avec les visions de Mélanie Calvat, qui sont assez troublantes et précises dans les détails qu’elles nous transmettent :
Mélanie Calvat (La Salette) :
« Paris sera un jour effacé. » Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l’attention. Elle écrivait souvent ces trois lettres : ‘PSB’, ce qui veut dire : « Paris sera brûlée ». En 1896, elle écrivait : « Voyez-vous la Seine ? Si vous saviez combien de gens y seront jetés ! Mais le plus grand nombre viendront s’y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspendu au-dessus de la ville. Ils s’y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant. » Comme l’abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite : « Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s’arrêteront à peu près là. » Elle montrait le canal Saint-Martin. Alors l’abbé Rigaux : « Mais pourtant, c’est un mauvais quartier celui-ci. » Et Mélanie : « Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps. » Passant devant la statue de la République, elle ajouta: « La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là. » « Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre-vingts fois en une seconde. » « Et les députés, s’écria l’abbé Rigaux, seront-ils dans l’enceinte ? » « Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts grillés. » Mélanie a vu la population s’efforcer de fuir Paris : « des désordres inexprimables » et d’indiquer : « On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand’peine, le troisième jour on ne pourra plus. Même les conducteurs de voitures qui s’insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière. Le tout dans « une fumée asphyxiante. » Et Mélanie disait à l’abbé Rigaux, son confesseur et père spirituel, curé d’Argoeuves en Somme, mort à un âge très avancé en 1896 : « Paris sera brûlé par sa canaille. »
Voilà donc pour les prophéties qui concernent la fin atroce que Paris subira dans un avenir qui n’est pas si éloigné. La Justice Divine ne peut plus attendre, nous avons déjà trop abusé de la patience du Créateur et il est bientôt l’heure de payer pour tout le Mal commis sur cette planète. C’est notre génération qui a été choisie pour vivre cela, nous les Hommes du XXIème siècle, et l’entrée dans une nouvelle ère de prospérité n’est pas loin, c’est pourquoi il est inutile de souhaiter que tout cela n’arrive pas et de penser que le Monde peut s’en sortir sans passer par une grande purification. Car si le Ciel n’intervenait pas, jusqu’où le Monde irait-il ? Sa chute infernale vers l’abîme ne cesserait-elle donc que lorsque l’Homme parviendrait, accidentellement ou non, à s’auto-détruire totalement ? Nous avons encore une chance pour réformer le Monde et pour ne plus s’égarer comme nous l’avons fait, donc saisissons-la.
De nombreux pays connaîtront de grands malheurs, la France sera la première comme vous le savez, mais pas la seule. Déjà maintenant, beaucoup de pays sont secoués par des problèmes divers, mais la Révolution n’a pas encore tout à fait commencé cependant, bien que la Fin des Temps soit déjà là quant à elle. Paris, Marseille, et tant d’autres villes connaîtront le même sort lorsque leur heure sera venue ! Sachez que selon des prophéties qui n’ont pas été citées dans ce blog pour le moment, Los Angeles et San Francisco sont menacées de destruction par un séisme, le fameux « Big One » tant redouté en Californie. New York sera elle aussi détruite par un raz-de-marée gigantesque. Et Rome aussi, bien entendu, qui finira par s’effondrer dans tous les sens du terme. Beaucoup de malheurs à l’horizon, oui, mais pour aboutir à un Bien durable. En attendant, mieux vaut profiter de ces derniers instants de « fausse paix », et se préparer au pire qui est encore devant nous … | |
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