Synode : le réquisitoire du Cardinal Burke.(Belgicatho 4 oct. 2023)

Aïe, aïe, aïe, c'est l'entrée en synode... Et déjà de graves questions décentes et de bon sens se posent ... Merci Cardinal Burke.

Synode : le réquisitoire du Cardinal Burke.


Synode : le réquisitoire du cardinal Burke - BELGICATHO

Déjà, lundi 2 octobre 2023, on pouvait lire sur "Lifesitenews" :

* Le Cardinal Müller approuve les dubia des Cardinaux au synode sur la synodalité.


Le cardinal Müller approuve les dubia des cardinaux au Synode sur la synodale - LifeSite (lifesitenews.com)

... Mais quelles sont donc ces "dubia" soumises au pape avant l'entrée en synode. Lisons l'article signé Jeanne Smits sur son blog le 2 octobre 2023 :

* Les cardinaux Burke, Sarah, Zen, Sandoval et Brandmüller présentent des "dubia" au pape et interpellent les laïcs.


Le blog de Jeanne Smits: Les cardinaux Burke, Sarah, Zen, Sandoval et Brandmüller présentent des “dubia” au pape et interpellent les laïcs

... Vous attendiez peut être la réponse du pape à ces "dubia" ! La voici sur le même blog de Jeanne Smits.

* La réponse du pape François aux premiers "dubia" soumis par les cardinaux Burke, Sarah, Brndmûller, Sandoval et Zen.


Le blog de Jeanne Smits: La réponse du pape François aux premiers “dubia” soumis par les cardinaux Burke, Sarah, Brandmüller, Sandoval et Zen

... Et nous revenons sur ce synode avec le texte intégral de la lettre pré-synodale du Cardinal Zen, vue sur "BergiCatho le jeudi 5 octobre 2023.

* Le texte intégral de la lettre pré-synodale du Cardinal Zen.


Le texte intégral de la lettre pré-synodale du cardinal Zen - BELGICATHO

Lu sur le site "Benoit et moi" ce jour 7 octobre 2023 :

* Ambiance au synode, vu par un participant.


Ambiance au Synode, vue par un participant | Benoit et Moi (benoit-et-moi.fr)

Réflexion toute personnelle mais qui me tracasse : En même temps que démarre ce synode si bizarre voulu par le pape, voilà que de graves évènements se déclarent en Israël. 

Déjà, comment l'Etat d'Israël a-t-il pu se laisser  surprendre ainsi ? J'avais cru comprendre que les services secrets de cet Etat étaient les meilleurs du monde. Ceci est incompréhensible.

Concernant le synode, les LGBT y sont représentés à ce que j'en ai compris. Comment et pourquoi ce choix ? Quelle finalité ??? Ceci est incompréhensible.

Franchement, à bien y réfléchir, il y a anguille sous roche. Ce n'est pas possible autrement.

Quelqu'un a des explications à fournir ? J'ai pu passer à côté d'un détail important. 

C'est tellement grave ce qui se passe dans le monde qu'on est bien obligé de se poser des questions.

Comme sur ce forum, le mot "Espérance" est notre mot clé, nous nous y accrochons. Nous savons que Notre Seigneur Jésus Christ a son plan et que la Victoire lui appartient. Cela c'est notre Foi, on en est sûr, cependant tous ces martyrs de la guerre nous pèsent. Pourquoi tant de méchancetés chez les hommes ?

Belle soirée à tous. Prions. Rejoignons le chapelet de 19h30 avec Notre Dame de la Lumière ! Je vous y invite.

Lu sur "La Nuova Bussola Quotidiana" le 17/10/2023 :

* Cardinal ZEN (Cardinal chinois) : "Au synode, ce n'est la la Vérité de la Foi, mais la psychologie.


Cardinal Zen : « Au Synode, ce n’est pas la vérité de la foi, mais la psychologie » - La Nuova Bussola Quotidiano (lanuovabq.it)

Selon le site "Silere non possum", publication du 3 décembre 2023, la nouvelle cible à abattre pour le pape François et consorts, c'est le Cardinal Burke. Ces personnes arrivées là-haut au sommet par un tour de passe passe  se croient avoir tout pouvoir parce que socialement engagées. Les masques vont tomber. 

La question Burke devient un problème sérieux au Vatican | Silere non possum

Citation :

LA QUESTION BURKE DEVIENT UN PROBLÈME SÉRIEUX AU VATICAN

Il y a beaucoup de peur au Vatican. Le Pape ne respecte pas les personnes et la loi.

Le 20 novembre 2023, au Palais apostolique, le Saint-Père François a présidé une rencontre avec les chefs des dicastères de la Curie romaine. Plusieurs sujets ont été abordés, mais l’un d’entre eux, plus que tous, a fait lever le nez à certains cardinaux. Le Pape a fait part de son intention de s’entretenir avec le cardinal américain Raymond Leo Burke, patron émérite de l’Ordre souverain militaire de Malte.
Le prélat fait l’objet d’une campagne de « diabolisation » de la part de la presse depuis des années. Plus que beaucoup d’autres, il a été sévèrement critiqué pour avoir célébré la Sainte Messe selon la vetus ordo, pour avoir pris position sur des questions particulièrement délicates comme la vie et le mariage. Mais pourquoi? Il est clair que Burke est la cible de cette aile de sujets qui se croient catholiques parce qu’ils sont « socialement engagés ». Dans un moment historique comme celui que nous vivons actuellement, il est donc clair qu’une personnalité comme Burke est l’ennemi numéro un. La presse s’est empressée de le qualifier de « fou », « déconnecté de la réalité », « riche », « rigide », etc... Mais la question que nous avons posée à plusieurs de vos frères cardinaux était : « Mais le connaissez-vous personnellement ? Avez-vous déjà pris le thé ensemble ?



La réponse, malheureusement, est toujours la même : « Non ». Cette dérive a été le prix du conclave de 2013. Les idées et les impressions des princes de l’Église ont été basées sur des articles de journaux ou des reportages télévisés. Cela a causé d’énormes dommages aux personnes, mais nous pouvons dire aujourd’hui, en toute connaissance de cause, à l’Église elle-même.
Souvent, en feuilletant les innombrables blogs, on lit des déclarations sur des déclarations de cardinaux qu’en réalité ils n’ont jamais prononcées. Pourtant, la plupart des gens, mais aussi leurs confrères, croient ce qu’ils lisent et leur jugement ne changera pas facilement. Ces dernières années, nous avons donc été témoins d’une série d’injustices dirigées contre l’un ou l’autre et la plupart ont commenté : « Eh, eh bien, mais c’est Burke, mais c’est Muller, mais c’est... Cela se produit parce que nous avons la conviction qu’ils sont différents de nous et qu’ils seront donc affectés, nous ne le serons pas. Il y a la croyance qu’à la fin, s’ils les frappent, « il y a une raison ». Pourtant, nous nous rendons compte que ce n’est pas le cas. Aujourd’hui, le message est clair : « Vous pourriez être le prochain. »
Parce qu’il est aussi essentiel de comprendre qu’il ne suffit pas d’être autruche et de se mettre la tête dans le sable, de ne pas contredire le Pape, de faire comme si de rien n’était. Comme nous le savons bien, ici, il suffit que quelqu’un vous accuse de quelque chose et la lettre arrive de Santa Marta.

Vatican du Nord

C’est un but contre son camp puissant que François a fait et qu’il n’a peut-être même pas réalisé. Nous le voyons, jour après jour, le Pape « perd ses coups ». Ce matin encore, il a relu un passage de l’Angélus qui avait déjà été prononcé par Mgr Braida. Mais aujourd’hui, le problème devient de plus en plus grave, car si nous nous trouvons face à la même dynamique que dans les dernières années du pontificat de Jean-Paul II, nous sommes vraiment frais. C’est précisément ce qui a effrayé Benoît XVI. Si, en 2000, il y avait des timbres qui passaient d’une salle à l’autre et des nominations épiscopales qui sortaient en paquets à l’insu du Pape mourant ; aujourd’hui, nous n’imaginons même pas ce à quoi nous pourrions faire face avec toutl’étourage que François a apporté avec lui.
Il y a une certitude : la loi n’existe plus. Le 28 février 2023, Silere non possum a annoncé la nouvelle concernant le Rescriptum sur les appartements. À cette occasion, nous avons réitéré que ces règles ad hoc visaient clairement à frapper les ennemis et à régler les amitiés. La clause selon laquelle le Pape se réserve un droit a déjà été appliquée à plusieurs reprises.
Il suffit de penser à Víctor Manuel Fernández qui a écrit avec enthousiasme sur Facebook que le pape avait personnellement cherché un appartement qui lui convienne. Fernández paie-t-il un loyer ? Payez-vous des frais subventionnés ?
De plus, lorsque ce Rescriptum a été publié, de nombreux cardinaux ont été trompés par la norme qui disait que les contrats existants ne seraient pas touchés avant leur expiration. Pourtant, avec Raymond Leo Burke, cela ne s’est pas du tout passé comme ça.
Ce n’est donc pas une question de partisans : traditionalistes ou modernistes. La situation est beaucoup plus grave. Ce qui est en jeu, c’est la fonction même, l’essence du ministère épiscopal et du cardinalat. Si un évêque n’est plus libre de s’exprimer parce qu’il risque de se voir retirer son diocèse ou même son salaire, de quelle parrhesia parle-t-on ? Le Pape aimera aussi l’image du polyèdre, mais ici, il est vraiment difficile de comprendre à quoi il ressemble s’il change soudainement d’avis tous les jours.

La Corée du Nord, à l’heure actuelle, se moque de nous. La volonté du Pape est d’expulser tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, ne rentrent pas dans son idée de gouvernement. On peut se demander : maintenant qu’il voit ses forces faiblir de plus en plus, le fera-t-il avec encore plus de liberté ? Quel est l’objectif ? Celle d’assurer un conclave avec seulement ses propres têtes ?

Burke effraie le pape

Alors que certains journalistes de dernière minute tentent d’attribuer cette mesure à la dernière Dubia présentée, en réalité, François nourrissait ces idées bien avant cela. Il est clair que le Pape n’a pas prononcé la phrase : « Burke est un ennemi ». Il ne le ferait jamais devant les chefs de dicastère, c’est aussi une sortie pour les élèves de cinquième. L’essentiel, cependant, est que le Souverain Pontife a peur du catholicisme américain et qu’il est conscient que Burke jouit de l’estime de tous les catholiques américains. Ce que le pape n’a peut-être pas envisagé, c’est que le fait de lui enlever son appartement et l’assiette du cardinal ne fera que créer une division aux États-Unis. Cela ne créera certainement pas de problèmes économiques pour le cardinal car, comme nous l’avons vu à plusieurs reprises, lorsqu’il y a ces mesures (qui plus est injustes), le peuple réagit en conséquence et soutient.
Demandons-nous donc si François n’était pas le pape de l’unité. N’était-il pas le pape du « all in » ? N’avez-vous pas dit « todos, todos, todos » aux JMJ ? En Allemagne, cependant, un véritable schisme est en train d’émerger. En Amérique, il vaut mieux ne même pas en parler parce que sinon vous serez giflé. En Argentine, ils ne veulent même pas le voir. Peut-être qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Peut-être que la seule chose qu’il a en main, c’est la presse.
Tous ces journalistes qui meurent de faim et qui se jettent à la table de François pour obtenir un mot, mille fois répété, mais devant leur caméra. C’est gentil!

... Voir la suite sur le site dont le lien est cité plus haut.