Visions de l'Enfer de Sainte Véronique Giuliani (...) Le 30 juin 1697, il fut dit à la Sainte qu’elle allait passer par de nouvelles souffrances. Ce fut comme une participation aux supplices de l’enfer qu’elle endura pendant une heure à plusieurs reprises. Ce jour là, elle se sentit placée dans une fournaise ardente et elles éprouva des peines atroces, comme des lances qui la perçaient, de fers qui la brûlaient, du plomb bouillant qui lui était versé sur tout le corps.
Le 1er juillet, au matin, elle se retrouva dans ce lieu d’effroi ; elle se voyait comme abandonnée de Dieu, incapable de se recommander ni au Seigneur ni aux Saints ; non pas qu’elle n’eut pas la pensée de Dieu, tout au contraire, mais elle le voyait sans Miséricorde et n’étant que justice.
Le 4 juillet, l’enfer lui parut si vaste que toute la machine du monde, dit-elle, ne serait rien en comparaison. Elle y vit une roue, une meule, d’une grandeur démesurée, qui, à chaque instant, tombait sur les damnés, puis se soulevait pour retomber encore.
le 16 juillet, elle sentit tous les os broyés par des roues qui tournaient tout autour d’elle. En même temps, elle eut le sentiment de la perte de Dieu, peine si atroce, dit-elle, qu’on ne la peut expliquer. Tous les autres tourments paraissent peu de chose auprès de celui-ci.
Le 19 Juillet, pendant ce qu'elle appelait l'heure d'éternité, elle se sentit tantôt piqué avec des épingles et des aiguilles, tantôt brulée par des plaques enflammées, et tantôt déchirée dans ses chairs par des instruments tranchants. (...)
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Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde