Sciée et jetée aux porcs pour avoir refusé d'apostasier.

Et ils osent encore être fiers de se dire héritiers du socialisme. 

https://gaceta.es/blogs/crimenes-del-comunismo/aserrada-dada-comer-los-cerdos-negarse-apostatar-20171017-1946/?fbclid=IwAR1Cb3H7RH5Bmh4PaI96lBqG6grvgY9HGPRgv-loOE8FqEAHy2GHbs5_UBg


CRIMES DE COMMUNISME


Juan E. Pflüger 
 17 octobre 2017



Apolonia Lizárraga était la Mère Supérieure des Sœurs Carmélites de la Charité depuis 1925. Lorsque la guerre civile a éclaté était de 69 ans et était à la Chambre générale de Vic. Là , elle craint pendant les premiers jours de la guerre pour trouver un logement sûr pour les novices et les malades qui étaient en charge de la congrégation des religieux.





Après avoir tenté de garantir la sécurité de toutes les personnes en charge, elle a elle-même cherché un logement chez une famille qui a collaboré avec sa commande. Elle y est resté jusqu'à son arrestation lors d'une perquisition effectuée par des miliciens du POUM (Parti ouvrier de l'unification marxiste).
Elle a été immédiatement transférée dans le district tchèque de San Elías - sous le contrôle de la CNT-FAI -, qui occupait le bâtiment qui, jusqu'au début de la guerre, était un couvent de religieuses Clarisas. Elle y est restée plusieurs jours en prison, soumis à des privations, des insultes et des coups. Enfin, le 8 septembre, un des responsables de la prison, surnommé «le bossu», en compagnie de trois autres miliciens, l'a transférée dans la cour centrale.





Une fois là-bas, elle a été complètement déshabillée et il lui était proposé d'apostasier pour sauver sa vie. La religieuse a refusé et les miliciens l'ont suspendue à un crochet qu'ils avaient installé sur l'un des murs. Ce crochet a été utilisé à plusieurs reprises pour tuer sauvagement les prisonniers détenus.
Cette mort a été qu'ils ont été sciés vivants, jusqu'à ce qu'ils saignent à mort dans une douleur terrible. Et leurs corps ont ensuite été démembrés et jetés à un troupeau de 42 porcs qui avaient été conduits en République tchèque après une perquisition effectuée autour de la ville.

Peu de temps après, les miliciens ont massacré plusieurs de ces animaux et ont vendu le produit en l' appelant "saucisse religieuse". En référence au martyr de Claire,  supérieurr des Carmélites de la Charité.





Plusieurs témoignages de survivants de la République tchèque de San Elías s'accordent pour dire que la mort d'Apolonia Lizárraga a été:
"À l'heure actuelle, des témoins nous ont appris que, lorsqu'ils ont été emprisonnés à la prison de San Elías en 1936, c'est dans le domaine public que le chef de la République tchèque, un" Bosse à bosse ", a harcelé environ trois cents cochons à chair humaine. . Que beaucoup de prisonniers aient été jetés dans ces piaras et que la mère des Carmes de la Charité, Mère Apolonia Lizárraga, soit l’une de ces victimes qui ont été sciées, démembrées (en quatre parties) puis dévorées en morceaux plus petits par ces animaux le tchèque cité a grossi au nombre de 42 ”. C’est ce que dit Antonio Montero dans son livre Histoire de la persécution religieuse en Espagne.
D'autres témoignages acceptent d'expliquer la même version:

«Elle a été faite prisonnière, emmenée par la milice dans un camp tchèque, ils l'ont déshabillée et emmenée dans un patio. Elle était attachée par les poignets et les chevilles et suspendue au mur du patio. Avec une scie ils l'ont coupé. Elle a prié et prié pour ses meurtriers. Ils ont ensuite donné à leur corps pour manger les cochons qu'ils avaient là-bas, que peu de temps après ils les ont tués et mangés et vendus et vendus comme étant des saucisses de religieuse. ”
La mère Apolonia Lizárraga a été béatifiée le 28 octobre 2007 et a reçu le nom d'Apollonia du Saint Sacrement.


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